Saint-Hyacinthe Technopole est fière de souligner qu’Ellipse Conservation figure dans la courte liste des lauréats 2024 des prix Relève Alimentaire Québec remis lors de la soirée Relève de la Fondation Initia qui s’est tenue le 7 novembre dernier à Montréal.
Ainsi, cette jeune entreprise située dans la Cité de l’innovation agroalimentaire de Saint-Hyacinthe s’est vu attribuer le prix de la catégorie Entreprise en démarrage de cet important concours qui récompense la relève innovante et engagée qui façonne l’avenir du secteur agroalimentaire québécois.
Dirigée par Jérôme Perron, Ellipse Conservation a pour mission de contrer le gaspillage alimentaire en valorisant les aliments écartés par la chaîne d’approvisionnement tout en soutenant l’agriculture de proximité et les banques alimentaires. Elle produit des collations saines et écologiques à partir de retailles d’ananas, entre autres, grâce à un procédé de lyophilisation.
Elle est installée dans le pavillon Édouard-Brochu, un accélérateur d’entreprise propriété de Saint-Hyacinthe Technopole, depuis 2003.
Rappelons que Les Prix Relève Alimentaire Québec honorent les jeunes entreprises et les entrepreneurs de la relève pour leurs réalisations novatrices, leur dévouement et leur leadership exceptionnel. Grâce à ce concours, la Fondation Initia soutient activement les jeunes talents de l’industrie en offrant des bourses pouvant atteindre 10 000 $ et divers prix d’accompagnement pour les aider dans leur croissance et leurs projets.
« Cette reconnaissance fait rayonner une fois de plus l’écosystème maskoutain d’innovation en agroalimentaire et sa capacité de supporter la croissance de jeunes entreprises de la filière comme Ellipse Conservation », a souligné Karine Guilbault, directrice générale de Saint-Hyacinthe Technopole.
Sur la photo:
Le fondateur et dirigeant d’Ellipse conservation, Jérôme Perron, est entouré du directeur du développement industriel et commercial de Saint-Hyacinthe Technopole, Tommy Jodoin, et de Martine Beaulieu, conseillère au développement économique .
Crédit : Patrick Roger