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Investir dans la grande région de Saint-Hyacinthe

CHOISIR UN MILIEU FERTILE AUX AFFAIRES :

Située au Québec, en périphérie de l’agglomération métropolitaine de Montréal, la grande région de Saint-Hyacinthe regroupe près de 90 000 habitants

Elle est l’un des chefs-lieux de la Montérégie, 2e région en importance au Québec. À ce titre, elle est un centre administratif, gouvernemental et judiciaire majeur, et compte sur la présence de nombreuses institutions publiques et privées. Elle est également desservie par un vaste réseau d’enseignement régulier et supérieur et d’établissements de santé. Avec ses multiples zones de développement résidentiel, ses parcs et jardins ainsi que ses grandes infrastructures culturelles et de loisirs, Saint-Hyacinthe offre un milieu de vie de grande qualité.

Misant sur son statut de capitale agroalimentaire nationale et de Technopole agroalimentaire de renommée internationale, la région constitue un pôle économique important pour le Québec et l’Est du Canada. En effet, elle a su devenir au fil des ans un centre industriel et d’affaires dynamique, offrant aux entrepreneurs et aux investisseurs un environnement économique des plus stimulants et des plus compétitifs.

Comptant plusieurs zones industrielles et commerciales adaptées aux besoins des entreprises de production et de services de tous genres, elle s’est dotée d’une structure d’accueil et de services uniques (programmes de crédits d’impôt, soutien logistique, financier et scientifique, services professionnels, etc.) à l’intention des entreprises qui souhaitent s’établir sur son territoire. Des enquêtes récentes la classaient d’ailleurs première ville au Québec pour son dynamisme industriel et dans le top 30 des meilleures villes d’affaires au Canada.

La région compte actuellement plus de 400 entreprises manufacturières dont le quart dans les domaines de l’agroalimentaire et de la biotechnologie. Elle regroupe, de plus, quelque 1 600 places d’affaires commerciales ou de services.

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Positionnement Stratégique

Au cœur du vaste marché nord-américain

Reconnue comme l’une des principales zones industrielles et économiques dans l’Est du Canada, la région de Saint-Hyacinthe est traversée par les principaux axes routiers et ferroviaires du pays, donnant un accès direct et privilégié à un marché de quelque 110 millions de consommateurs.

Une technopole reconnue mondialement

Grâce à sa concentration exceptionnelle d’acteurs liés aux secteurs de l’agroalimentaire et des biotechnologies vétérinaires et agroenvironnementales, Saint-Hyacinthe est la première ville canadienne à avoir accédé au très prestigieux Club international des Technopoles. C’est en 1993 qu’elle se glissait à ce rang avec l’accréditation de l’IASP (International Association of Science Parks).

En plus d’être le principal centre de production agricole au Québec avec ses quelque 1 200 fermes de culture et d’élevage, la région a développé une industrie de transformation alimentaire des plus prospères. En effet, son territoire concentre plus de 150 institutions de recherche, d’enseignement supérieur, de transfert technologique et d’industries spécialisées dans le secteur de l’agroalimentaire. Elle regroupe plus de 8 000 emplois dans ce secteur et compte sur un bassin de plus de 200 chercheurs permanents de réputation mondiale.

Saint-Hyacinthe a également sur son territoire quelques-unes des principales industries canadiennes du secteur agroalimentaire (Agropur, Lassonde, Lallemand, Saputo) dont ses deux principales sociétés exportatrices, Olymel et Barry Callebaut.

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Un parc technologique dédié à l’industrie bioalimentaire

Forte de cette concentration exceptionnelle d’entreprises et d’intervenants de haut niveau, Saint-Hyacinthe Technopole a inauguré, en 2003, la Cité de la biotechnologie agroalimentaire, vétérinaire et agroenvironnementale. D’une superficie de près de 10 millions de pieds carrés, la Cité est le premier parc technologique exclusivement consacré au secteur du bioalimentaire en Amérique du Nord. Elle accueille déjà des intervenants majeurs dans ce domaine et permettra à de nombreux chercheurs d’y pratiquer leur science. Les grandes institutions qui la ceinturent et les avantages fiscaux qui y sont associés en font un lieu privilégié pour le développement d’entreprises agroalimentaires, biotechnologiques et pharmaceutiques.

En 2011, l’Association of University Research Parks (AURP) lui décernait le titre de « Meilleur parc technologique en émergence au monde » dans le cadre d’une cérémonie tenue à la Nouvelle-Orléans. De plus, la même année, il était le seul parc technologique canadien, et le seul en Amérique du Nord avec celui de San Diego aux États-Unis, à figurer dans une prestigieuse étude de la firme PricewaterhouseCoopers réalisée pour le compte de la Commission européenne et qui portait sur les performances des « bioclusters ». Parmi tous les parcs étudiés, il s’était classé au même niveau de développement que les pôles de Paris, Oslo, Munich et devancé seulement par Cambridge et San Diego.

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Un haut lieu de savoir

Au centre de toute cette dynamique se trouve la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal. Seule école vétérinaire francophone en Amérique du Nord, elle est reconnue au plan international, dans les domaines de la reproduction animale, des maladies infectieuses du porc, en médecine équine ainsi que pour ce qui concerne l’innocuité et la salubrité des aliments.

D’autres institutions répondent également aux besoins de formation de l’industrie des biotechnologies agroalimentaires en offrant des programmes professionnels de niveau collégial dans ce domaine : le Cégep de Saint-Hyacinthe, par le biais de ses programmes en biotechnologie et en technique de diététique (gestion-conseil en alimentation), et l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), avec ceux des technologies des productions animales, des équipements agricoles, de la transformation des aliments et de la production horticole et de l’environnement.

Des infrastructures de soutien au développement de produits

La région offre aux entreprises agroalimentaires un encadrement technologique de premier ordre grâce aux centres de recherche et d’aide au développement qui peuvent les soutenir dans la mise au point de leurs produits et dans la mise au point de procédés de production :

  • Centre de recherche et de développement sur les aliments (CRDA)
    Spécialisé dans la conservation, la transformation, la qualité et l’innocuité des aliments, le CRDA est le plus grand centre de recherche sur les aliments transformés au Canada. Il soutient les entreprises de transformation des aliments et des boissons dans leurs efforts de R&D en leur donnant accès à ses ressources humaines, ses infrastructures et ses sources documentaires ainsi que par le transfert de technologies.
  • Cintech agroalimentaire
    Avec son expertise multidisciplinaire, Cintech agroalimenaire fournit le support professionnel à l’innovation et au transfert technologique de la conception à la commercialisation des produits agroalimentaires. Le centre dispose de laboratoires de R et D, d’usines pilotes et de cuisines expérimentales.

Un pôle d’affaires compétitif

Région d’affaires

Saint-Hyacinthe a l’un des coûts d’implantation les plus bas en Amérique du Nord. C’est ce qu’a confirmé la firme KPMG dans une étude mondiale sur les coûts d’implantation d’entreprises pour les agglomérations ayant des populations allant jusqu’à 500 000 personnes. Saint-Hyacinthe a ainsi décroché la deuxième place parmi les villes canadiennes et américaines. Les résultats tenaient compte de l’exploitation d’une entreprise sur une période de dix ans.

De plus, d’autres enquêtes la classaient première ville au Québec pour son dynamisme industriel et dans le top 30 des meilleures villes d’affaires au Canada.

Des ressources abondantes

La région de Saint-Hyacinthe est la principale zone de production agricole au Québec tant au niveau du nombre d’établissements que du volume de produits mis en marché. Avec en tête les productions de grandes cultures, bovines, laitières, porcines et acéricoles, elle génère 20 % des revenus agricoles de la province.

Les entreprises de transformation alimentaire ont également accès à une alimentation en eau potable de qualité et à un approvisionnement en sucre à un prix abordable.

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Une main-d’œuvre stable et qualifiée

Les entreprises établies à Saint-Hyacinthe peuvent compter sur un important bassin de main-d’œuvre spécialisée dans plusieurs secteurs d’activité. Seulement dans le secteur agroalimentaire, c’est plus de 500 étudiants qui graduent chaque année des institutions d’enseignement supérieur de la région :

  • Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal (FMV)
    (Médecine vétérinaire, santé et production animale, sécurité alimentaire) ;
  • Institut de technologie agroalimentaire de Saint-Hyacinthe (ITA)
    (Transformation des aliments, productions animales et horticoles, génie agromécanique, gestion et exploitation) ;
  • Cégep de Saint-Hyacinthe
    (Biotechnologie, santé animale, gestion) ;
  • École professionnelle de Saint-Hyacinthe
    (Agroalimentaire, horticulture et production animale).