Près d’un an après sa fermeture à la suite d’un incendie, le restaurant Panelo du centre-ville de Saint-Hyacinthe est maintenant de nouveau en activité.
Ce restaurant, qui offre un menu de grillades portugaises, accueille ses clients depuis quelques jours dans sa salle à manger réaménagée du 690, avenue Bourdages Nord. Les propriétaires de l’établissement, Alenka Do Nascimento, Armando Do Nascimento et Hector Rumbaut ont donc conclu les derniers détails liés à la reprise de leurs activités qui ont nécessités d’importants travaux de réaménagement. Le restaurant occupe un espace d’un peu plus de 1 500 pieds carrés, ce qui lui permet d’accueillir une quarantaine de clients simultanément.
En choisissant de reprendre ses activités au centre-ville de Saint-Hyacinthe à la suite du sinistre dont il a été victime, ce commerce bénéficiera d’une aide financière couvrant la première année de loyer. Celle-ci sera versée dans le cadre du Programme d’aide à l’implantation de commerces au centre-ville mis en place par la Ville de Saint-Hyacinthe et Saint-Hyacinthe Technopole.
Ce programme offre une aide financière aux entrepreneurs qui souhaitent installer ou agrandir une place d’affaires au centre-ville, dans les limites de la zone désignée à cet effet. Ce support peut atteindre l’équivalent de la totalité du montant du loyer associé aux nouveaux espaces occupés pour la première année d’activité, et ce, jusqu’à concurrence de 12 $ du pied carré ou 30 000 $.
Toute l’information et la documentation concernant le dépôt d’une demande dans le cadre de ce programme sont disponibles sur les sites Internet de la Ville de Saint-Hyacinthe (ville.st-hyacinthe.qc.ca) et de Saint-Hyacinthe Technopole (st-hyacinthetechnopole.com). Pour être admissible, toute demande devra être déposée avant le 31 décembre 2022.
Sur la photo :
Jeannot Caron, conseiller municipal, Hector Rumbaut, Alenka Do Nascimento et Armando Do Nascimento, propriétaires du restaurant Panelo, de même que Sylvain Gervais, directeur du développement commercial de Saint-Hyacinthe Technopole.
Crédit : Patrick Roger.