C’est avec beaucoup de satisfaction que Saint-Hyacinthe Technopole a pris connaissance de la mise à jour d’une étude de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) qui classe Saint-Hyacinthe au 3e rang québécois et au 9e rang des villes canadiennes les plus favorables à l’implantation et au développement d’entreprises.
L’étude annuelle « Les collectivités entrepreneuriales : Les meilleurs endroits au Canada pour démarrer ou faire croître une entreprise en 2016 », qui vient d’être publiée, est basée sur une liste de 14 indicateurs évaluant la concentration d’entrepreneurs, le taux de démarrage d’entreprises, le niveau d’optimisme et de réussite de même que les politiques fiscales et réglementaires.
Ainsi, sur l’ensemble canadien, Saint-Hyacinthe obtient un score qui la ramène dans le top 10 des destinations d’affaires canadiennes et au 6e rang des villes de taille moyenne sur l’ensemble du pays. Une position largement avantagée si on la compare avec d’autres grands centres économiques comme Drummondville (28e), Saint-Jean-sur-Richelieu (52e) ou Granby (71e). Au Québec, Saint-Hyacinthe occupe le 3e rang sur l’ensemble des villes.
« Saint-Hyacinthe a repris sa place parmi les villes les plus performantes en matière d’entrepreneuriat et les plus favorables pour la croissance des entreprises. Nous sommes heureux de constater une amélioration de notre position sur la plupart des indicateurs étudiés, principalement en ce qui concerne la croissance de l’entrepreneuriat de même que sur l’optimisme et les perspectives de développement de nos entreprises », a souligné le directeur général de Saint-Hyacinthe Technopole, M. André Barnabé.
Ce classement s’ajoute à d’autres études qui sont venues confirmer la richesse de l’activité économique de la région. Rappelons que l’an dernier, Saint-Hyacinthe s’était démarquée par sa capacité de créer de l’emploi en décrochant le premier rang canadien dans une étude réalisée par le groupe de recherche ontarien dédié à l’emploi, « l’Express employment professionnal ». En 2012, elle avait occupé le deuxième rang québécois pour son dynamisme entrepreneurial dans cette même étude de la FCEI.