L’équipe de Saint-Hyacinthe Technopole a accueilli, récemment, un groupe de six familles ukrainiennes à l’occasion de leur passage dans la région. Ces familles, recrutées lors de séances d’information organisées à Montréal, ont été invitées à venir connaître le territoire maskoutain ainsi que les possibilités de vie et d’emplois qui s’offrent à eux.
Lors de cette visite, les familles ont notamment été reçues par la directrice générale de Saint-Hyacinthe Technopole, Karine Guilbault, par le directeur général de la MRC des Maskoutains, André Charron, et par le maire de Saint-Hyacinthe, André Beauregard. Ce dernier en a d’ailleurs profité pour leur présenter les atouts de la région et pour les inviter à s’installer dans la région.
Au cours de ce passage chez nous, ces visiteurs ont également bénéficié d’un tour de ville, rencontré des représentants de la Maison de la famille des Maskoutains afin de connaître les services d’accueil et d’intégration offerts, en plus de rencontrer des entreprises locales pouvant leur offrir des opportunités d’emplois. Ils ont, entre autres, été en mesure d’échanger avec l’équipe des ressources humaines de la société Industries de Moules et Plastiques VIF qui a collaboré à l’accueil de ce groupe et qui a manifesté l’intérêt d’intégrer de nouveaux arrivants ukrainiens en emploi.
« La grande région de Saint-Hyacinthe est reconnue pour être une communauté accueillante. La qualité des différents services d’intégration des nouveaux arrivants offerts sur notre territoire de même que la grande variété des emplois offerts par nos entreprises locales en fond un milieu tout désigné pour recevoir les membres de la communauté ukrainienne venus trouver refuge au Québec. Nous sommes heureux d’avoir été en mesure de présenter à ces visiteurs les opportunités professionnelles et de vie que la région maskoutaine a à offrir », a précisé la directrice à l’immigration de Saint-Hyacinthe Technopole, Ana Luisa Iturriaga.
Rappelons que le Québec a accueilli quelque 4 000 Ukrainiens depuis le début du conflit en court dans ce pays. Ceux-ci sont reçus ici avec en main un permis de travail ouvert et valide pour une période de trois ans. Ils sont donc disponibles et aptes à occuper des postes au sein des entreprises à la recherche de main-d’œuvre.
Crédit photo : Robert Gosselin