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L’entreprise Royal Net s’installe au centre-ville de Saint-Hyacinthe

L’entreprise Royal Net s’installe au centre-ville de Saint-Hyacinthe

L’entreprise maskoutaine Royal Net vient de s’installer au centre-ville de Saint-Hyacinthe. En opération depuis 2017, celle-ci est spécialisée en entretien ménager commercial, industriel et résidentiel.

Ainsi, l’entreprise propriété de monsieur Jean-Claude Oura, a désormais pignon sur rue au 1200, rue Calixa-Lavallée. En plus de ses services de travaux d’entretien, elle offre maintenant différents équipements et solutions de nettoyage, notamment des produits écologiques et certifiés bio. Ceux-ci sont destinés autant au grand public que pour les professionnels ou la clientèle institutionnelle.

En choisissant de s’implanter au centre-ville de Saint-Hyacinthe, ce commerce bénéficiera d’une aide financière couvrant une large part de sa première année de loyer. Celle-ci sera versée dans le cadre du Programme d’aide à l’implantation de commerces au centre-ville lancé en début d’année par la Ville de Saint-Hyacinthe et Saint-Hyacinthe Technopole.

Ce programme offre une aide financière aux entrepreneurs qui souhaitent installer ou agrandir une place d’affaires au centre-ville, dans les limites de la zone désignée à cet effet. Ce support peut atteindre l’équivalent de la totalité du montant du loyer associé aux nouveaux espaces occupés pour la première année d’activité, et ce, jusqu’à concurrence de 12 $ du pied carré ou 30 000 $.

Toute l’information et la documentation concernant le dépôt d’une demande dans le cadre de ce programme sont disponibles sur les sites Internet de la Ville de Saint-Hyacinthe (ville.st-hyacinthe.qc.ca) et de Saint-Hyacinthe Technopole (st-hyacinthetechnopole.com). Pour être admissible, toute demande devra être déposée avant le 31 décembre 2022.

 

Sur la photo:

Jeannot Caron, conseiller municipal du district Cascades, Jean-Claude Oura, propriétaire de l’entreprise Royal Net, et Sylvain Gervais, directeur du développement commercial de Saint-Hyacinthe Technopole.

Crédit: Patrick Roger